Moi après mois – Mai 2024
Mai, je me suis demandé si ton plan, c’était pas de nous noyer ?! Et pour la douceur, on repassera !
Remettre le masque ~ 1er mai sous le soleil : de la glace, de la musique et de la papote entre amies pour chasser les traces de l’insomnie ~ Jeudi surréaliste ~ Bon pour sauter une poétesse ~ Vendredi réveil difficile et voyage en train ~ La météo trolle encore une fois le weekend en famille ~ Le retour du combo Parmigiana – Tiramisu ~ La serveuse qui ne laisse pas trop le choix sur l’apéro ~ Profiter du seul rayon de soleil de la séance de course ~ Tours et détours pour rentrer à la capitale ~ Le hasard qui le met un peu trop sur le chemin de mes pensées ~ Le retour des longues soirées au Bois et des podcasts dans les oreilles ~ Celle qui me donnerait presque envie d’aller élever des abeilles dans les Ozarks ~ L’estime de soi en chute libre ~ Et le corps qui te fait des blagues qui ne font rire que lui ~ La petite soirée au calme qui se transforme en tournée des lieux dansants jusque 3h du matin ~ Enfin découvrir le Toukoul ~ “Tu vas quand même pas rentrer à pied toute seule ?!” – Ben si ! ~ Porte de Namur, circa 3h30 : “Hey Mademoiselle, je peux te raccompagner ?!” Ou l’énième rappel que tu peux jamais rentrer sereine quand t’es une meuf ~ Première tonte de la saison ~ On y voit un peu plus clair ~ Eliette Pagaille met l’ambiance à Saint-Gilles ~ Alejandra, enfin ~ Quand le Parvis devient ta deuxième maison ~ Les fous rires en terrasse avec Fanny ~ Bon, faut vraiment que je calme le jeu, moi ! ~ Retrouver le papillonnage, bien plus safe pour le cœur ~ Le long week-end qui n’était clairement pas de tout repos ! ~ Et toi, c’est quoi tes dossiers ?! ~ Existe-t-il encore des gens célibataires sains de corps et d’esprit, après 35 ans ?! ~ Clairement, la vie dissolue n’aide pas aux performances sportives ~ Première glace de chez Cônes sur fond d’orage qui gronde ~ Le plus flamand des francophones ~ Ralentir le rythme ~ Soleil, soleil ~ Firenze e Bologna, me voilà ! [enfin, bientôt] ~ Beaucoup de lilas chez Alejandra ~ Ce sentiment de décalage toujours plus grand et, en même temps, aucune envie de “rentrer dans le rang” #paradoxe ~ Ho tiens, ya une de mes collègues un peu plus loin ! #again ~ Elle goûte pas tant le pamplemousse cette bière… Et puis elle cogne fort, t’es sûr que tu m’as pris la bonne ? #oupsie ~ Ajouter de nouvelles cordes à son arc ~ Fausse alerte : on peut recommencer à respirer ! ~ Quand tout le gratin culturel bruxellois se retrouve dans la même soirée que toi ~ De l’importance de se sentir représentée ~ Une soirée entre meufs où on ne parle presque pas d’eux ~ Celui qui s’invite avec du Prosecco et du fromage ~ The Dead don’t hurt ~ La cabane au fond des bois qui remplace l’après-midi prévue à la Pride ~ Décadence glacée ~ Invasion de limaces ~ Celui qui investit ma cuisine ~ Les envies de liberté ~ Se sentir Vivante avec Clara, au fond des bois ~ Se lancer le défi fou de faire ces 60 km de marche autour de Bruxelles ~ Les soirées copro ou l’anti-chambre de l’enfer ~ Je ne suis pas une Mademoiselle ! ~ Nouvelle fonction : potiche-micro ~ Trop de jours de pluie, vraiment ~ S’épuiser ~ Dernier cours de yoga de l’année, déjà ~ Ici, vivent Les Dragons ~ Overwhelmed ~ Choisir, c’est renoncer ~ Bavardage et réseau capricieux ~ Celui qui est beaucoup trop gentil [et me fait culpabiliser] ~ Une soirée en Amérique latine pour contrer la pluie bruxelloise ~ Filer en librairie pour acheter Vivante ~ Samedi jazzy sous le timide soleil bruxellois ~ La douleur qui revient pile un an après : si ça c’est pas un retour de karma ?! ~ S’improviser photographe sportive sous la pluie ~ Dimanche flemme sur canapé ~ Se faire littéralement rincer ~ Bleuets et ses fulgurances ~ Battre les records en termes de manque de sommeil ~ Devoir à nouveau faire appel à la boisson rose, sans grand succès ~ Gris, gris, gris ~ La claque peu attendue ~ A deux doigts de se pendre à chaque ouverture de rideaux sur la pluie de mai ~ Nouveau traquenard pour le randonneur : l’emmener voir La Convivialité ~ Pas encore prête à écrire avec “stile” ~ Punaise, ça épuise de lutter contre une infection ! ~ Louper le réveil, deux jours de suite ~ Le soulagement de voir le date finalement s’annuler : meuf, c’est peut-être un signe que t’es occupée à t’épuiser… ~ Dernier soir de mai en poésie
La BO du mois : Les garçons
Sur une douce idée de Moka et chez Fanny
Juin, je peux te dire que les attentes sont grandes : va falloir faire péter, le soleil, le Spritz et le gelato !
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