Humeurs

Les sourires de la semaine #11

En cette fin de semaine endeuillée, il est difficile de trouver autant de sourires que d’habitude, tant la morosité est grande. Mais, puisque la meilleure façon de gagner contre ces fous, c’est de leur montrer que nous continuerons à vivre comme nous l’avons toujours fait, que cela leur plaise ou non, j’ai voulu publier cet article comme prévu. Voici donc les petits moments qui, malgré tout, m’ont fait aimer cette semaine.

Crédit photo : McLac2000 sur Pixabay.com
Crédit photo : McLac2000 sur Pixabay.com
  • Avoir une journée de congé qui est venue couper la semaine en deux : un doux moment de pause au milieu de toute cette pression qui n’en finit pas.
  • Décider de passer une soirée en mode “mamie” avec son plaid, une bonne petite tisane et un bon livre et, surtout, pouvoir lire aussi tard qu’on en a envie un jour de semaine.
  • Prendre le temps de découvrir la communauté booktube et s’apercevoir que, finalement, on peut y trouver son intérêt, il faut juste creuser un peu…
  • Se rendre à la soirée des #weekendblogsaward jeudi soir avec l’amoureux et se moquer de toutes ses filles apprêtées comme si elles se rendaient à une grande soirée de gala… Décidément, nous ne venons pas du même monde ! Pensée spéciale à la petite blonde qui avait la même robe [la verte] que l’animatrice de la soirée… Ce ne devait finalement pas être si drôle que cela pour elle… [Oui, je suis une vilaine moqueuse]
  • Aller boire un verre avec des amis et refaire le monde autour d’un plateau de nachos au fromage et d’une sangria un poil trop corsée. Profiter du plaisir d’être ensemble.
  • Sortir de ses retranchements et quand même aller voir cette expo comme on l’avait prévu depuis longtemps : y rigoler autour d’œuvres dont on ne comprend pas forcément le concept. Oublier cette mauvaise humeur qui nous collait aux basques depuis le réveil.
  • Se raconter les dernières nouvelles autour d’un moccachiato fumant et délicieux.
  • Ouvrir les yeux le matin et se réveiller aux côtés de la personne qu’on aime. Se rendre compte de notre chance et vouloir que ça dure longtemps encore.
  • Voir l’amoureux rentrer de chez sa tante avec une nouvelle boite de galettes au gingembre faites maison. Se dire qu’une nouvelle semaine de cafés gourmands nous attend [et quatre kilos supplémentaires sur la balance mais ça, on y pensera plus tard].

Voilà, c’était des petits moments futiles mais qui nous rappellent que la vie continue et qu’il ne faut pas se laisser manger par la peur de l’autre. Mes pensées vont vers ceux qui, cette semaine ou les précédentes, ont dû subir les effets de ces atrocités, que ce soit en France ou ailleurs, car la barbarie, malheureusement, n’a pas touché que Paris.

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